i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT]
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Mathias O'Connel
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Je suis à Los Angeles depuis le : 11/08/2016 et j'ai déjà posté : 28 messages et gagné : 130 points. Sur le net mon pseudo est : exogenesis et je remercie : faust pour mon profil. Il paraît que je ressemble à : matthew daddario d'ailleurs, je joue aussi : personne.
Je suis né(e) le : quatorze janvier ce qui me fait donc : vingt-six ans. J'ai des origines : irlandaises et américaine. Je travaille actuellement comme : infirmier et chasseur dans le groupe d'aaron et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : séparé, le coeur brisé, les yeux humides.
Sujet: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Ven 12 Aoû - 23:15
i can't help you when i'm only gonna do you wrong.
aarias
deux semaines. deux pauvres semaine et ton monde s'écroule toujours, lentement, t'as l'impression de tomber dans le vide, sans fin, en continu, tu sombres un peu plus chaque jour, ton regard se mouille même par moment alors que ton esprit est recouvert de brume et que t'arrives plus à réfléchir correctement. la culpabilité te ronge, lentement, elle prend part de ton être tout entier et elle s'installe, rampe sous ta peau et empoissonne ton sang. tu n'as cas fermer les yeux et tu la sens, partout autour de toi, te ronger un peu plus, elle t'emporte vers le fond, te tire dans cette eau trouble et dans ce gouffre béant. et toi tu fais rien pour lutter parce que tu le mérites, tu laisses le mal ronger ton cœur et l'empêcher de battre. un poids sur la poitrine. tu suffoques. tu ouvres les yeux et te redresse vivement. t'as froid. tes épaules en tremblent. tu transpires et grimace en retirant ton t-shirt humide. t'en récupères un propre et tu vas prendre une douche. rapide. froide. juste pour te réveiller. tu t'observes un moment dans le miroir, tu grimaces. misérables. t'es juste misérables. tu secoues la tête et tu t'habilles, tu tiens pas à rester plus longtemps dans cette pièce, tu ne supportes plus de te voir dans un miroir, ça te donne envie de vomir, de hurler, de frapper dans ce fichu miroir et de laisser les éclats de verres transpercer ta peau, s'y enfoncer et faire couler le sang. tu ne mérites que ça.
tu laisses la porte claquer derrière toi. tu déambules dans les couloirs, tu fais en sorte d'éviter le plus de monde possible, t'as envie de croiser personne, t'as pas envie de devoir faire face aux regards accusateurs ou curieux, t'as juste envie de leurs gueuler d'aller se faire foutre une bonne fois pour toute, mais tu peux pas, tu ne le ferras pas. tu le sais. tu te connais assez pour savoir que c'est pas dans ton genre de hurler comme ça, de porter la faute sur les autres alors qu'eux, ils ont rien fait. ils ont rien à voir dans cette histoire. tu soupirs à nouveau, tu relèves la tête et te pince les lèvres quand tu passes à proximité d'une des salles aménagées comme salle d'entrainement. tu ralentis et tu viens te placer dans l'entrebâillement de la porte, les bras croisés sur ton torse, tu observes. aaron. tu restes silencieux et tu l'observes donner des coups, de rage, de haine, tu reconnais cette façon de frapper, celle qui ne dégage que de la colère. tu fermes les yeux un moment et tu t'avances dans la pièce, signalant ta présence par un léger raclement de la gorge. « tu t'épuises plus qu'autre chose. » tu avances dans la pièce, tu te plantes à quelques mètres à peine d'aaron, le regard qui se veut fermer, mais tout de même voilé de larmes qui ne couleront pas aujourd'hui. tu te racles légèrement la gorge pour empêcher ta voix de trembler. « tu ne progresseras pas si tu épuises ton corps dans des coups inutiles. » tu fermes les yeux un court instant et tu te dis que t'en mériterais des coups. et que ça t'étonnerait même pas d'en recevoir un venant d'aaron. tu passes une main dans tes cheveux. nerveux. un tic. tu sais qu'aaron le connaît, qu'en ce moment précis il est capable de lire en toi comme dans un livre ouvert. peine. tristesse. culpabilité. dégoût. amour. tu relèves les yeux, tu cherches son regard, désespérément. amour. je t'aime.
629 mots.
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Aaron Blackthorn
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Je suis à Los Angeles depuis le : 22/07/2016 et j'ai déjà posté : 100 messages et gagné : 191 points. Sur le net mon pseudo est : Chikita et je remercie : Mathias d'amuuuur and hunt pour mon profil. Il paraît que je ressemble à : jack falahee d'ailleurs, je joue aussi : personne pour l'instant.
Je suis né(e) le : 31 Octobre 1989 ce qui me fait donc : 27 ans. J'ai des origines : Anglaise et Irlandaises. Je travaille actuellement comme : Chasseur & médecin et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : Récemment séparé le coeur détruit par un crétin qui ne sait pas garder son pantalon en place. et j'ai un penchant pour : les femmes comme les hommes.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Ven 12 Aoû - 23:55
i can't help you when i'm only gonna do you wrong.
aarias
T’as du mal à suivre ce que tes collègues te disent. Ils parlent de chasses, de soucis avec certaines personnes, d’une réunion avec les Indécis prévue dans quelques semaines. Toi, tu n’entends que des brides, alors que tu observes d’un air lunatique une feuille de papier devant tes yeux. Quelques mots inscrits, quelques consignes, quelques nouvelles. Rien de bien glorieux. Il va falloir ravitailler les réserves, pour ça, il faudra sortir et risquer de perdre des hommes. Une fois de plus tu te joindras à la partie, parce que tu es comme ça, tu participes activement et tu ne restes pas enfermé entre ces mûrs. On s’adresse à toi et tu soupires, passant une main dans tes cheveux alors que les regards sont tournés vers toi. Comment en es-tu arrivé à devenir un leader ? Toi-même tu n’en as pas la réponse. « On va envoyer trois patrouilles pour chercher de la nourriture, deux resteront ici histoire de garder le campement en sécurité. On partira demain à l’aube, préparez-vous et surtout, mettez-vous d’accord pour savoir qui part et qui reste. Je prendrais moi-même des hommes pour sortir. » La discussion est clos et déjà, tu te lèves pour quitter la pièce en silence. Tu n’as pas le cœur à bavarder, à écouter les problèmes qui peuvent s’implanter dans le campement. Le manque de nourriture, l’eau froide, les soucis de voisinage. Tu ne veux absolument rien savoir. Pas aujourd’hui. Pas maintenant. Avec qui allais-tu partir ? Tu n’en avais pas la moindre idée. Il y a quinze jours tu aurais pris Mathias avec toi, mais à présent, tu le tenais loin de ta personne. Ton cœur se serre à cette pensée et la douleur cuisante revient au point de t’obliger à stopper net tes pas. Tu as besoin de te défouler, d’oublier, de sombrer pour mieux te relever.
Sans vraiment le réaliser tu te diriges vers la salle d’entraînement, un endroit que tu fréquentais souvent. Tu enlèves ton haut, ne souhaitant pas le tremper de sueur. Vous n’aviez pas de machines à laver, du coup, la lessive était franchement délicate ici. Le jetant sur une chaise, tu approches d’un sac suspendu à la façon débutant. Les bricoleurs font comme ils peuvent, au moins, celui-ci tient bon. Tu frappes une fois, deux fois, trois fois…et la rage t’envahi de nouveau, faisant en sorte que tes poings s’écrasent sur le sac avec une violence que tu ne contrôlais plus. Ces derniers temps tu étais assez colérique, tes émotions prenant le dessus sur ta personne. Tu te perds dans ton monde, dans la douleur, dans les souvenirs. Tu le revois nu sous les couvertures, Samuel contre lui, gémissant contre son corps. Ton rythme cardiaque s’accélère. Qu’il aille au diable…C’est alors qu’un raclement de gorge te fait stopper net, suivit de paroles qui te font te crisper. Il est là. Tu ne le regardes pas, sincèrement, tu n’en as ni l’envie, ni le courage. Malheureusement pour toi, Mathias n’en a pas fini. Apparemment, monsieur avait décidé de te donner des conseils à la con et, sans le vouloir, tu serres les dents. Te tournant vers le jeune homme, tu ne prends pas le temps de l’observer, d’attarder ton regard sur lui. Non, ta voix brutale et froide résonne dans la pièce froide. « Je m’épuise ? » Et sans prévenir, tu approches de lui et ton poing s’écrase sur sa joue. Tu n’as pas pu retenir ton geste et, déjà, tu t’en veux secrètement. Ce manque de contrôle ne te ressemble pas. Pas avec lui en tout qu’à. Mais là c’était trop. Après deux semaines d’évitation, il venait te faire la morale. Tu n’avais même pas eu droit à des excuses !
« Va chier Mathias. Tu viens ici, ramenant ton cul comme une fleur, pour me dire des conneries pareilles ? Va te faire baiser par Samuel, c’est tout ce que tu sais faire de bon ! » L’échos de ta voie se répercute dans toute la pièce alors que tu gueule comme un acharné. Ton regard est sombre et meurtrier, ta mâchoire tremble, partagé entre la douleur et la rage. Pourquoi t’avait-il fait ça ? Pourquoi avait-il été voir ailleurs alors que, sans te lancer des fleurs, tu n’avais jamais été un mauvais petit ami. Tu lui prêtais autant d’attention que possible, tu l’aimais sans contrefaçons et tu lui avais toujours été fidèle. Mais non, lui, il avait tout foutu en l’air et n’avais jamais cherché à s’excuser auprès de toi, t’évitant simplement. Toi, tu avais de bonnes raisons de ne pas souhaiter le voir, mais lui…Tu n’aurais jamais cru ça possible venant de lui. Certes, tu avais entendu dire qu’il était bourré ce jour-là, Ludivine t’en avait parlé, mais ce n’était pas une excuse. Surtout pas pour tomber dans les bras de ce crevard de Samuel ! Pourquoi tu m'as fais ça, t'as tout foiré et pourtant, j'aurais donné ma vie pour toi.
805 mots - 24h - poste 2
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Mathias O'Connel
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 0:39
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aarias
tu ne devrais pas être la. tu ne sais même pas pourquoi t'as décidé de passer la porte de la salle d'entrainement, tu sais pas pourquoi t'as décidé de signaler sa présence, de faire comprendre à aaron que vous êtes tous les deux seuls dans la même pièce. ton cœur s'emballe, ça te fait peur, tu ne sais pas comment il peut réagir. tu fermes les yeux un court instant, puis finalement tu secoues la tête, incapable d'empêcher ton regard de s'égarer sur son torse nu, couvert d'une légère couche de sueur. certain trouverais ça sale, mais toi ça te rappelle vos nombreuses nuits, vos peaux glissantes l'une contre l'autre. ta gorge se serre, tu dois penser à autre chose, impérativement. une main passe dans tes cheveux. encore. nervosité palpable dans chacun de tes gestes. « je m'épuise ? » sa voix. froide. colérique. tu t'y attendais un peu, mais ça fait mal. au fond de toi, ça te fait mal et ça te fait peur, une nouvelle fois. t'as peur de vous voir voler en éclat une bonne fois pour toute. si ce n'est pas déjà fait. t'es un enfant, tu rêves encore de voir votre relation s'améliorer, mais tu doutes sérieusement de l'existence d'un quelque chose à réparer. tu l'entends qui se rapproche, mais t'as pas le temps de relever les yeux que tu sens son cou dans ta mâchoire, tu grimaces à peine. tu le mérites. réellement. tu le laisses faire et t'entends un léger craquement venant de ton cou. « va chier mathias. tu viens ici, ramenant ton cul comme une fleur, pour me dire des conneries pareilles ? va te faire baiser par samuel, c'est tout ce que tu sais faire de bon ! »ta mâchoire se crispe, tu encaisses, silencieux, alors que tu portes ta main droite sur ta joue que tu frottes légèrement, pour faire passer la douleur qui se diffuse déjà sous ta peau, elle rampe et elle te rappelle une énième fois ta connerie. un rire nerveux s'échappe d'entre tes lèvres et tu fais un pas en avant vers aaron avant de le pousser contre le mur le plus proche de vous, ton avant-bras appuyant sur sa gorge, bloquant partiellement sa respiration. « tu veux te défouler ? fais-le. frappe moi. je le mérite bien après tout. » tu t'écartes et tu fais passer ton t-shirt par-dessus ta tête, tu le balances de l'autre côté de la pièce et tes deux mains passent dans tes cheveux, tu te retournes vers aaron le regard soudainement plus sombre. « tu veux apprendre à combattre aaron. et tu sais très bien que tu n'y arriveras pas comme ça. » tu soupires presque, tu ne sais même pas pourquoi tu réagis de cette manière la. sans doute que toi aussi t'as besoin de tous laisser sortir, les larmes et la colère, la haine et l'amour. « mais tu t'en fiches hein ? t'as juste envie d'écraser ton poing dans ma figure. alors fais-le. » ton corps entier se crispe, tes épaules sont tendues et tes ongles s'enfoncent dans les paumes de tes mains, tu redresses la tête, une mèche de cheveux tombe sur ton front, tu ne fais rien pour la remettre en place. « FAIS-LE. » tu hurles, ta voix transperce le silence de la pièce. et tu ne laisseras pas aaron partir tant qu'il ne se sera pas défoulé.
590 mots - 24h.
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Aaron Blackthorn
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 1:13
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aarias
T’as la rage qui ne cesse de monter, comme une bouffée de chaleur que tu ne tentes même pas de maitriser. Non, tu t’en veux de lui en avoir collé une, mais au final, il la méritait. Puis, ça t’avait fait du bien, mais pas assez pour que tu te sentes mieux. Non. Tu lui en veux trop pour ça. Tu laisses ta colère exploser dans la pièce, caressant les mûrs avec brusquerie, tes paroles sont colériques et brutales. Tu aimerais juste qu’il s’en aille, qu’il te laisse seul et misérable comme tu l’étais depuis deux semaines. Ça ne te ressemble pourtant pas. Oh non, c’est la première fois que tu te mets dans un état pareil pour un mec. Tu le vois frotter sa joue et tu ne bouges pas, le cœur battant à une vitesse folle dans ta poitrine. Tu t’attends à ce qu’il prenne la fuite, mais non. Sans comprendre, tu te retrouves plaqué contre le mur, alors que ton dos heurte la brique assez douloureusement. Un frisson de douleur s’empare de ta colonne vertébrale mais tu ne laisses rien paraître. Cette proximité éveille tellement de choses en toi que t’en reste choqué. Ses lèvres semblent si proches…mais tu ne flanches pas. Non, tu es bien trop en colère pour ça. Il le mérite ? Bien sûr et pas qu’un peut. Tu serres les dents. Tu ne cherches pas à te dégager, les muscles crispés devant cette scène. Il te relâche enfin et tu peux respirer convenablement, son bras contre ta gorge t’en avait empêché jusqu’ici. Tu le vois s’écarter et enlever son haut, se retrouvant torse nu devant toi. Ton regard souhaite glisser sur sa peau, alors que tes doigts frisonnes face à l’envie de le toucher. Mais ta colère t’aveugle. T’es touché dans ton amour propre, t’es blessé, brisé.
« Va te faire foutre ! » C’est tout ce que tu trouves à dire lorsqu’il prend la parole. Tu n’es pas là pour t’entraîner mais bien pour te défouler, pour évacuer ta colère, ta peine et Mathias est en train de te mettre hors de toi. Durant toute votre relation vous vous étiez entraînés ensemble, t’avais beaucoup progressé devenant un combattant redoutable. Néanmoins, Math restait plus fort, ayant plus d’expériences que toi. T’en étais conscient et ça ne t’avait jamais dérangé. Tu le regardes droit dans les yeux quand il te parle, te disant que tu souhaitais juste lui envoyer ton poing dans la gueule. Il gueule comme tu l’avais fait, t’encourageant à le frapper. Tu serres les poings, tu te retiens l’espace d’une seconde. Mais impulsif comme tu es, torturé, âme en peine, tu approches le toisant du regard. Tu ne pensais pas en arriver là un jour, pas avec lui. Le frapper ne t’avait jamais effleuré l’esprit…mais voilà, tout peut arriver, la preuve en est actuellement. Malgré ta grande taille tu es rapide, peut-être trop, mais évidemment tu ne t’en rends pas spécialement compte. Ton poing ne s’écrase pas dans sa figure, mais bien au niveau de son estomac, alors que tu enchaîne avec un coup de genoux bien placé. Tu recules, la respiration haletante. « T’as pris ton pied dis-moi ? Il baisait bien j’espère pour que tu foutes pratiquement deux ans de relations en l’air ! » C’est l’heure du règlement de compte, tu ne peux pas t’empêcher de déverser un flot de parole en le regardant droit dans les yeux. « Si t’avais envie d’aller voir ailleurs Mathias, fallait juste rompre et pas faire l’enfoiré comme ça. Mais bien sûr tu t’en fou, toi t’as bien ramassé, t’étais content ! »
T’es con, tu te fais plus de mal que de bien en le provoquant avec tes mots. Mais tu en as besoin. Oui, tu as besoin qu’il t’explique, qu’il te dise le pourquoi du comment. Tu veux des explications, quittes à souffrir davantage. De toute façon, tu étais déjà à terre, alors un peu plus ou un peu moins, ça n’allait pas changer grand-chose.
655 mots - 24h - poste 4
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Mathias O'Connel
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 1:48
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aarias
tu l'énerves. tu le pousses à bout. tu veux le voir hurler, se défouler. et t'es prêt à le laisser te frapper pour qu'il se défoule. tu te rappelles tes années d'entrainement, de ton coach qui faisait la même chose à chaque fois qu'il voyait que tu étais trop énervé, que quelque chose te contrariait. il ne te laissait pas frapper sur des sac de sable tous seul dans ton coin, loin de la. il t'obligeait à te défouler d'une autre manière. tu fermes à peine les yeux et tu observes aaron alors que tu lui hurles de le faire. de te frapper. t'as pas peur de la douleur, t'as pas peur des coups. tu le mérites. t'es misérable. tu mérites bien de recevoir un coup ou deux venant d'aaron. c'est même légitime que ce soit lui qui te frappe. lui et personne d'autre. il hurle. il te hurles d'aller te faire foutre et t'espère sincèrement que la personne qui passera à proximité de la salle d'entrainement aura l'esprit assez futé pour déguerpir. tu rouvres les yeux et tu fixes aaron. tu sais que tu peux facilement le maitriser si vous vous battez vraiment. vous vous êtes entrainés ensemble, mais tu as plus d'expérience que lui. et surtout, tu connais sa façon de faire, à force de combattre ensemble, tu sais déchiffrer et prévoir certains de ses coups. et pourtant. il semble tellement enragé aujourd'hui qu'il peut être totalement imprévisible. et c'est bien ça qui te fait peur. il se rapproche de toin mais tu ne bouge pas. tu serres la mâchoire quand tu sens un premier coup s'abattre dans ton ventre et tu peines à retenir un gémissement de douleur quand son genou atteint le bas de ton ventre. tu recules à peine, le corps entièrement crispé. « tas pris ton pied dis-moi ? il baisait bien j'espère pour que tu foutes pratiquement deux ans de relations en l'air ! » tu le fixes toi aussi, vous vous observez tous deux sans bouger, toi tu luttes avec la douleur diffuse dans ton corps et lui il lutte contre sa rage et sa haine. « parce que tu penses que je suis capable de prendre mon pied avec quelqu'un d'autre que toi ? » un aveux. sans doute. une révélation. tu l'as jamais vraiment dit ça. tu l'as jamais vraiment avoué, y'a plein de trucs qui sont sous-entendus mais que t'as jamais dis à voix haute. « si t'avais envie d'aller voir ailleurs mathias, fallait juste rompre et pas faire l'enfoiré comme ça. mais bien sûr tu t'en fous, toi t'as bien ramassé, t'étais content ! » tu ris nerveusement avant d'écarter tes mèches de ton visage. « mais putain aaron ! je me souviens pas de la moitié de cette soirée, tu penses vraiment que c'était volontaire ?! » tu élèves la voix de nouveau. comme si crier aller arranger quelque chose. mais t'es comme ça toi, tu fais pas dans la délicatesse, jamais. tu esquives facilement le coup d'aaron, mais tu ne prévoyais pas de perdre totalement l'équilibre, alors quitte à se retrouver au sol, tu agrippes son pantalon et tu l'entraines avec toi, le bloquant sur le sol en immobilisant son bassin. tu respires lourdement et tu te rends soudainement compte que vos deux torses sont collés et que ton visage est bien trop proche du sien. tes lèvres sont trop proches des siennes et la t'as juste envie de l'embrasser à en perdre ton souffle. « il n'y a jamais eu que toi putain. j'ai jamais voulu que tous ça arrive. » et la t'as envie de lui hurler tout ce que t'oses jamais lui dire. t'as envie de lui hurler que tu l'aimes, que t'es désolé, que tu regrettes et que t'as juste envie que rien de tout ça ne soit arrivé, t'as juste envie que vous repreniez votre vie. à deux. parce que t'arrives pas à vivre sans aaron. « on peut pas continuer comme ça aaron. » tu souffles à peine, parce que crier ne sert plus à rien.
714 mots - 24h.
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Aaron Blackthorn
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 2:17
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aarias
Tu n’as pas retenu tes coups. Non. Tu as laissé ta force exploser, envoyant valser ton genou contre lui à la suite de ton poing. Tu as beau frapper ça ne te détend pas, ça ne te défoule pas. Loin de là. C’est comme si tu avais eu un trop plein de rage, trop pour s’évacuer si facilement. Alors, tu le provoque en parole, lui demandant si il avait eu bon. Sa réponse te fait peur, si jamais il te répondait que oui tu en tomberais d’avantage. Tu ne voulais pas savoir…non, t’es vraiment trop con d’avoir posé cette question. Tu le vois lutter contre la douleur et t’en est fière. Au moins, il ressent à peine ce que toi tu éprouves depuis deux longues semaines. Toutes les larmes que tu as versés sur l’épaule d’Evangeline. Toutes ses nuits que tu as passé, blotti contre ton fils, sans pouvoir trouver le sommeil à cause de lui. Il ne sait pas ce que tu vis. Car oui, à l’heure actuelle ta vie se rapproche de l’enfers, encore plus qu’autrefois. Au moins, avant tu partageais ton univers avec lui, il était ta lumière…sauf que là, tu étais dans le noir le plus total. Vos regards se croisent, il te balance qu’il ne peut pas prendre du plaisir avec quelqu’un d’autre. Tu as du mal à y croire. Si c’était le cas, pourquoi avait-il fini dans le même lit que Samuel ? Pourquoi t’avait-il trahi de la sorte ? Il te connait, il sait que tu ne pardonnes pas ces choses-là, que t’es un foutu rancunier, un jaloux possessif de malade. Mais non, il l’avait quand même fait, te brisant sans pitié. Tes paroles semblent le faire rire et tu trembles de rage. Tu vois bien qu’il est anxieux, nerveux. Comme toi, il a tendance à passer sa main dans ses cheveux quand c’est le cas.
« Alors pourquoi Mathias ! » L’alcool n’est pas une excuse. Il n’aurait jamais dû boire avec Samuel, sachant l’homme qu’il était. Il savait que ce crétin voulait ta perte, tout le monde en étaient conscient. Pourquoi avait-il joué avec le feu ? Tu attaques une nouvelle fois, souhaitant lui en coller une nouvelle. Malheureusement, il évite ton coup mais, sans rien piger, tu sens ton pantalon être tiré et tu t’écroules. Tu sens ton dos heurter le sol avec une certaine violence, t’en as le souffle coupé lorsque Mathias retombe sur toi. Il te bloque avec son bassin, vos torses collés l’un contre l’autre. Tu peux sentir son souffle contre ta peau, ses lèvres étant vraiment trop proches des tiennes. Ton cœur se serre une fois de plus, ton esprit se met en mode pause. Tes muscles se crispent et ta respiration se fait plus lente, mais également plus courte. Cette proximité tu en as rêvé. Retrouver son corps, ses mains sur le tiens. Cruelle attirance que voilà. Tu l’écoutes, mais ses paroles te font plus de mal que de bien. Oui, vous ne pouviez plus continuer ainsi, mais que faire ? Durant un instant tu avais pensé partir, mais abandonner Evangeline et ton fils n’était pas envisageable. Tu as envie qu’il s’éloigne, l’avoir ainsi contre toi éveille l’envie de l’embrasser, de l’attirer davantage contre ton corps. Pourtant, tu ne le repousses pas, laissant ta tête tomber sur le sol lourdement en soupirant. « Non…effectivement… » Tu avais également murmuré tes mots, ne le quittant pas des yeux. Tu l’aimes toujours, c’est évident, mais la douleur se lit dans ton regard. « Je ne peux pas te pardonner…j’y arrives pas…je comprends pas. » Non, tu ne comprenais pas le pourquoi du comment, tu ne trouvais pas la raison qui l’avait poussé à te tromper. Tu détournes légèrement les yeux, secouant la tête avec lenteur. « Je t’en veux tellement Math, mais ce qui me fais le plus mal, c’est que je n’arrive pas à ne plus t’aimer. » Et ça, c’était l’enfers sur terre.
658 mots - 24h - poste 6
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 13:16
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tu ne peux pas. tu n'y arrives pas. tu te retrouves complètement collé à aaron. t'as envie de le toucher, t'as envie de l'embrasser à en perdre ton souffle, tu veux sentir sa peau frissonner contre la tienne. tu ne peux pas continuer comme ça, vous ne le pouvez pas. t'as froid la nuit, tu dors mal, t'es carrément en manque. parce que sans même t'en rendre compte aaron il est devenu comme ta drogue. sa voix, ses sourires, son odeur. t'arrives plus à rester loin de lui, t'arrives plus à te réveiller seul le matin, transit jusqu'aux os et tremblant. vos souffles s'entremêlent et tu te retiens de prendre ses lèvres, de passer tes mains dans ses cheveux. tu te retiens parce que t'as aucune idée de comment il peut réagir en ce moment précis. mais il ne semble pas vouloir bouger lui non plus, il laisse simplement sa tête cogner contre le sol et toi tu peux pas t'empêcher de poser ta tête sur le haut de son torse, d'écouter les battements de son cœur. ça t'apaises presque. « non…effectivement… » vos regards se croisent, mais tu ne prends pas la peine de lire ce qu'il ressent, tu te contentes de rester là, à le fixer, sans savoir quoi faire, ni quoi dire. « je ne peux pas te pardonner…j'y arrives pas…je comprends pas. » tu fermes les yeux alors qu'il secoue lentement la tête. tu sens une boule se former dans ta gorge et t'arrives pas à parler, t'arrives pas à dire quoi que ce soit. « je t'en veux tellement math, mais ce qui me fais le plus mal, c'est que je n'arrive pas à ne plus t'aimer » sans doute que si t'avais été debout, tu te serais écroulé sur le sol sans plus de cérémonie, les jambes tremblantes, t'ouvres les lèvres pour parler, mais aucun son ne sort, tes yeux se maculent de larmes alors que tu passes fébrilement une main sur ton visage. tu trembles. aaron doit le sentir lui aussi, tu t'écartes de lui alors que tu te redresses, t'arrives plus à respirer. ton corps se crispe alors que tu recherches cet air précieux. « je sais pas je ... je sais pas pourquoi j'ai fais ça putain ... » tes mains dans tes cheveux, tu serres des mèches entre tes doigts alors que tu trembles toujours, tu fermes les yeux, le souffle court. t'as honte. t'as honte qu'aaron te voit comme ça alors que c'est juste de ta faute. t'es qu'un con. « j'en avais marre de cette vie je ... j'en sais rien je voulais juste faire comme si tout allait bien, être juste ... normal, rattraper tout ce qu'on a perdu avec les attaques ... je sais pas ... je sais plus ... » et cette fois tu ramènes tes genoux contre ton torse alors que tu contrôles plus rien, tu contrôles plus ta respiration erratique, ni les battements de ton cœur trop rapide, tu contrôles plus ton corps et t'as l'impression de sombre, de perdre, tu te fais aspirer dans un gouffre béant. « je m'en veux tellement ... putain si tu savais ... » une larme coule le long de ta joue et pourtant aucun sanglot n'agite tes épaules. tu cherches pas à comprendre, tu te focalises toujours sur le souffle que tu n'arrives pas à reprendre alors que t'as tellement de choses à dire à aaron. « aaron ... t'es la seule personne à qui je fais autant confiance .. a qui je donnerais ma vie s'il le fallait ... je peux pas ... j'ai froid sans toi, je suis complètement paumé ... comme un gosse qui perd ses repères ... un putain de gosse dépendant ... » tu relèves la tête, tu cherches son regard. tu t'en fiches qu'il te voit dans cet état, tu t'en fiche qu'il voit les larmes couler silencieusement, tu t'en contre fiche. « je t'aime aaron, j'ai jamais aimé que toi dans ma misérable vie ... »
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Aaron Blackthorn
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Je suis à Los Angeles depuis le : 22/07/2016 et j'ai déjà posté : 100 messages et gagné : 191 points. Sur le net mon pseudo est : Chikita et je remercie : Mathias d'amuuuur and hunt pour mon profil. Il paraît que je ressemble à : jack falahee d'ailleurs, je joue aussi : personne pour l'instant.
Je suis né(e) le : 31 Octobre 1989 ce qui me fait donc : 27 ans. J'ai des origines : Anglaise et Irlandaises. Je travaille actuellement comme : Chasseur & médecin et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : Récemment séparé le coeur détruit par un crétin qui ne sait pas garder son pantalon en place. et j'ai un penchant pour : les femmes comme les hommes.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 13:52
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aarias
Tu le regardes alors que son contact contre toi te perturbe plus que nécessaire. Comme une chaleur enivrante, brûlante, te brisant de haut en bas. Tu n’es plus rien qu’un fantôme, qu’une faible lueur brillant dans une nuit sombre et sans vie. Depuis qu’il n’était plus à tes côtés et bien, t’étais simplement paumé. Comme un souffle incertain, comme un homme agonisant purement et simplement. T’en crève. Tu ne le montres pas forcément, restant fort pour ton fils, mais la peine était belle et bien là. Te tordant les tripes, te brutalisant sans cesse, te rappelant que l’amour peut s’avérer ô combien cruelle. Tu le sens trembler contre ta peau alors que tes mots s’échappent de tes lèvres. Douce évidence. Tu l’aimes toujours, mais la déception, la trahison est bien trop grande. Arriveras-tu à lui pardonner ? Vous aviez tellement partagé tous les deux. Vous aviez perdu tout autant. Il se redresse et tu le regardes à peine, n’osant pas croiser son regard. Tu souffres de trop. Tu te serais bien barré en courant. Du haut de tes vingt-six ans, tu avais l’impression d’être un gamin qui n’existaient que pour pleurer. Tu ne t’étais jamais mis dans un tel état, sauf peut-être quand tes parents étaient morts, sauf peut-être quand la peine est bien trop grande pour être supportée. Mais il avait toujours été là, dans cette nouvelle vie, vie qui était vôtre, qui était tienne. Il dit qu’il ne sait pas pourquoi il a fait ça, qu’il voulait juste retrouver une vie normal…tu ne voyais pas l’objectif de ses mots. Dans son ancienne vie, trompait-il ses petits-amis ? Comment était-il avant que tu le rencontre ? Un coureur, un don juan ? Tu l’observe légèrement alors qu’il ramène ses genoux contre lui. Il est mal, t’en es totalement conscient, mais tu l’es davantage. C’est toi qui l’avait surpris avec un autre. Attendait-il ton pardon ? Tu étais incapable de lui offrir à l’heure actuelle.
Il laisse échapper une larme et tu te redresse doucement, prenant une position assise, pliant l’un de tes genoux. Tu soupires en baissant les yeux, ne sachant trop quoi dire. Le voir souffrir ne te fait pas spécialement plaisir, mais au fond, c’est mérité. Il a l’air sincère, mais étais-ce suffisant. Il panique, son souffle est court et tu sens la crise s’emparer de lui alors qu’il te parle. Ton regard se braque sur lui, t’en as mal au cœur de le voir ainsi. Franchement, tu te fais pitié à toi-même de ressentir de telles choses pour lui alors qu’il était le seul responsable dans l’histoire. Ton regard trouve le sien et les mots qu’il dit te frappe de plein fouet. Mathias n’a jamais vraiment été très expressif durant votre relation, toi non plus d’ailleurs. Vous étiez heureux, amoureux, mais les déclarations d’amour n’avaient jamais été votre fort. Tu restes immobile, sans rien dire, laissant l’échos de sa révélation te griffer douloureusement le cœur. « Je… » Tu ne sais pas quoi dire. T’es sous le choc, alors, en silence, tu te glisses vers lui, posant une main fébrile sur sa joue. Sa peau semble brûler la paume de ta main, brûlure incertaine, violente, misérable. « Je t’aime aussi Mathias, je t’ai toujours aimé. Tu me manque, cruellement, mais tu as été trop loin. A chaque fois que je te vois je revois cette scène, c’est…c’est horrible. » Oui, à chaque fois que tu le croise dans un couloir, que tu plonges tes yeux dans les siens, tu revois cette scène qui te brise le cœur. Ta main retombe contre le sol alors que tu détournes le regard, te relevant. Ta main passe dans tes cheveux et tu peine à respirer. Tu lui tournes le dos, une main sur ta hanche, l’autre posée dans ta nuque. « Même aujourd’hui, j’ai l’impression de voir les traces de Samuel sur toi…j’ai juste l’impression que tu lui appartiens et je déteste ça. » Tu avais dit ses paroles avec une certaine fureur, le cœur serré dans ta poitrine.
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Mathias O'Connel
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Je suis à Los Angeles depuis le : 11/08/2016 et j'ai déjà posté : 28 messages et gagné : 130 points. Sur le net mon pseudo est : exogenesis et je remercie : faust pour mon profil. Il paraît que je ressemble à : matthew daddario d'ailleurs, je joue aussi : personne.
Je suis né(e) le : quatorze janvier ce qui me fait donc : vingt-six ans. J'ai des origines : irlandaises et américaine. Je travaille actuellement comme : infirmier et chasseur dans le groupe d'aaron et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : séparé, le coeur brisé, les yeux humides.
Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 19:43
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aarias
tu trembles. tout ton corps tremble, tes mains qui s'accrochent à tes cheveux. tu fermes les yeux, tu veux empêcher les larmes de couler, de maculer tes joues, perles salées qui finissent tout de même par s'échouer à la commissures de tes lèvres. ton souffle que tu ne contrôles pas, ton cœur qui s'emballe, la panique qui prend part de toi, par vague, comme la marrée qu'on ne voit pas venir. tu te laisses submerger, les nerfs à bout, tu n'arrives plus à tenir, tu ne peux plus faire face à tous ces sentiments, cet ouragan intérieur. tes nerfs lâches et tes épaules s'affaissent alors que les larmes coulent enfin sur tes joues, silencieusement, tu ramènes tes genoux contre ta poitrine et tu essayes de te calmer tant bien que mal, d'apaiser ton esprit torturé. tu n'y arrives pas, tu murmures à peine, même toi tu sais pas pourquoi tu dis ça que maintenant, pourquoi t'es pas venus voir aaron plus tôt. t'es juste con et tu t'en rends compte que maintenant. je t'aime. c'est pas quelque chose que tu dis souvent. t'es pas sentimental à ce point. avec aaron ça a toujours été si fort que vous n'avez jamais eu besoin de vous le dire, les regards et les sourires suffisaient. ça vous suffisait en toustcas. « je… » tu sursautes et tu relèves la tête quand tu sens sa main sur ta joue. tu fermes les yeux un instant et tu t'appuies contre la paume de sa main qui brule ta peau, à moins que ce ne soit la honte qui te brûles. « je t'aime aussi mathias, je t'ai toujours aimé. tu me manque, cruellement, mais tu as été trop loin. a chaque fois que je te vois je revois cette scène, c'est…c'est horrible. » tu secoues la tête alors que la chaleur de sa main te quittes. t'as envie de le retenir, de lui dire de rester prêt de toitoi, mais tu ne trouves pas la force pour le faire, tu n'en as plus le courage non plus. alors tu fermes les yeux, de nouveau et tu sens aaron se relever. durant un instant t'as peur qu'il s'en aille, qu'il te laisse là, sur le sol en train de pleurer misérablement. « même aujourd'hui, j'ai l'impression de voir les traces de samuel sur toi…j'ai juste l'impression que tu lui appartiens et je déteste ça » tu déglutis lentement. et tu frisonnes. avant de te relever, encore tremblant de la crise qui a enfin refluée. tes jambes sont encore tremblantes, mais tu n'y prêtes pas attention, tu te rapproches d'aaron qui est dos à toi et tu glisses tes mains sur ses hanches avant de te coller dans son dos, les yeux fermer, ton front appuyé contre sa nuque. t'es certain qu'il peut sentir les larmes qui roulent encore le long de tes joues contre sa peau. « remplaces-les, effaces-les. » tu parles doucement, toujours contre lui, les yeux fermés. et s'il se décale tu sais que tu vas tomber misérablement sur le sol, mais tu t'en fiches. « marque moi, montre à tout le monde que je n'appartiens qu'à toi. » tes doigts se resserrent légèrement contre sa peau et tu poses avec hésitation une main sur son ventre pour l'attirer encore un peu plus contre ton corps. ton torse nu contre la peau de son dos. contact brûlant, ça te fait du bien de le sentir prêt de toi. « je suis tout à toi, rien qu'à toi, j'ai besoin de toi aaron ... » tu murmures. tu as besoin de lui, désespérément. t'as l'impression que tu survivras pas en restant loin d'aaron. tu rouvres les yeux et tu te détaches à peine de lui pour le contourner, tes mains viennent encadrer son visage et tu viens l'embrasser, désespérément. et la seule chose que tu espères c'est qu'il réponde à ton baiser.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 20:10
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aarias
T’aurais aimé prendre tes jambes à ton cou, t’en aller sans te retourner et le laisser derrière toi. Oui, tu aurais aimé l’oublier, oublier ce qu’il éveillait en toi. Que ce soit en bon ou en mauvais. Mais tu n’en étais pas capable. Malheureusement pour toi, tu étais purement et simplement amoureux. Ton cœur bondissait dans ta poitrine à chaque fois que tu croisais son regard, ton corps avait pris l’habitude d’épouser le sien sans retenues. Et tout ça, oui tout ça te manquait. Ta main glisse sur sa joue mouillée et il sursaute, ne s’attendant sûrement pas à un tel geste de ta part. Tu lui parles. Tu lui avoues que tu l’aimes aussi, mais qu’il a été trop loin. Trahison impardonnable, brutale. Tu as envie de lui dire que tu le détestes, car dans un sens c’est le cas. Mais l’amour est toujours là. Tu ne peux le détester et l’aimer en même temps, ces deux sentiments ne vont pas de pair. De ce fait, l’amour était bien plus grand que la haine que tu éprouvais en ce moment, même si tu aurais aimé le contraire. Tu te lèves, cherchant à t’éloigner de tout son être. Cette proximité te déboussolé, au point que tu arrives à lui dire ce que tu penses réellement. Pour toi, Samuel c’était emparé de lui et toi, tu n’arrivais pas à passer outre. C’est comme si à chaque fois que tu t’approchais trop de lui, tu pouvais sentir son odeur. Ce n’était pas possible. Tu lui tourne le dos, essayant d’échapper au contact visuel que ton corps réclamait pourtant. Tu ne l’entends pas se redresser, perdu dans ton monde, dans tes pensées funestes. Quand tu sens son souffle dans ta nuque, ses mains se poser contre tes hanches, tu frissonnes, fermant doucement les yeux. Ton cœur s’accélère, tes muscles se crispent.
Tu écoutes ses paroles et, sans le vouloir, un léger sourire s’affiche sur le coin de tes lèvres. Le marquer était bien tentant, ça lui ferait une bonne leçon de vie de se retrouver maculée de marques diverses. Sa main glisse sur ton ventre et t’en as le souffle coupé. Ta respiration s’accélère et, tu tournes légèrement la tête sur le côté, cherchant davantage son contacte alors que lui, t’attire plus contre sa peau. Il a besoin de toi comme tu as besoin de lui, c’est une évidence, c’est cruel cette situation douloureuse. Tu as envie de tout abandonner, de baisser les bras, de te laisser aller contre lui. Tu n’as aucune volonté avec lui, mais la rancune est quand même là, sauf que bon, Mathias à l’art de te faire tourner la tête. Il se détache de toi et t’as envie de lui dire de revenir, sauf qu’à la place, il te contourne et vient prendre possession de tes lèvres. T’es surpris sur le coup, tu ne t’y attendais pas. Pourtant, t’es encore plus surpris de ta propre réaction…Sans attendre, tu réponds à son baiser, passant une main dans sa nuque. Avec une force non contrôlée, tu le pousses en arrière pour qu’il aille se percuter contre le mur. Ta main dans sa nuque évite sa tête de heurter les briques, alors que ton corps se colle au sien sans retenues. Tu respires difficilement, alors que tes lèvres glissent sur les siennes avec une envie bien marquée. Tes ongles s’enfoncent dans sa nuque et tu détache tes lèvres des siennes à bout de souffle. Ton visage ne s’éloigne pas trop du sien, mais tu murmures en serrant les dents. « Je te déteste. » Ton regard croise le sien durant un instant, l’espace d’une seconde tu hésites à continuer. Mais bien vite, ta bonne volonté vole en éclat et l’envie de reprendre possession de ce qui est tiens prend le dessus.
Tu viens chercher ses lèvres quelques secondes avant de venir prendre d’assaut son cou. Tes dents frôlent sa peau avant de le mordre, pas assez pour lui faire mal, mais assez pour qu’une marque rouge de début s’y incruste. D’instinct, ton bassin se colle au sien et t’as chaud, terriblement chaud.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 20:46
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aarias
t'as terriblement besoin d'aaron, de ses mains sur ton corps, de sa bouche contre la tienne, ses lèvres, son odeur. t'as besoin de son corps contre le tien, de sa chaleur et de ses caresses. t'en as terriblement besoin, ton corps en tremble alors que tu poses ton front dans sa nuque, tu attends, fébrile, une réaction quelconque. tu sens son corps se crisper, ses muscles se tendre contre ta peau. tu fermes les yeux, silencieux. t'aimerais que ce moment dure éternellement, qu'il ne s'arrête jamais et que rien ni personne ne vienne briser cet instant. et pourtant c'est toi qui le brise, tu déposes un léger baiser dans sa nuque et tu le contournes, pour glisser tes mains sur ses joues, caresser sa légère barbe de trois jours et tu viens embrasser ses lèvres, dans un geste désespéré, dans l'espoir qu'il ne te repousse pas. et tu soupires de soulagement contre ses lèvres quand il répond à ton baiser, quand ses mains trouvent leur place dans ta nuque. tu te laisses faire quand tu le sens te pousser et ton dos heurte le mur derrière toi avec force. tu t'en fiches, tu t'accroches à aaron comme à une bouée de sauvetage, tes mains autour de sa nuque, ton souffle qui se perd dans vos baiser, ton corps contre le siens, vos respirations trop rapides. tu sens les ongles courts d'aaron qui s'enfoncent dans ta nuque et ses lèvres qui s'éloignent à peine. vos souffles se mêlent. « je te déteste. » vos regards se croisent un instant. tu sais que ce sera du d'obtenir le pardon d'aaron. « je sais. » un souffle. il est aussi têtu que toi si ce n'est plus. mais tu ne lâcheras pas l'affaire. jamais. tu l'aimes. bordel oui tu l'aimes et dans ses bras tu te sens revivre, après deux semaines de sommeil, tu te sens enfin revivre, alors que ton cœur s'emballe et qu'il t'embrasse de nouveau. tu reprends ton souffle quand il vient frôler ton cou de ses dents, tu fermes les yeux, tes mains glissent dans ses cheveux. tu sens ses dents dans ta peau, ce n'est pas douloureux, mais tu sais que tu en garderas une trace rouge. un faible sourire sur tes lèvres, tu fermes les yeux. vos corps se collent l'un à l'autre et tes mains glissent sur ses épaules, tes doigts effleurent ses omoplates alors que tu le laisses faire ce que bon lui semble dans ton cou. tu retraces sa colonne vertébrale du bout des doigts, tu effleures à peine sa peau, puis tes mains se posent au creux de ses reins et tu l'attires un peu plus contre toi. t'as chaud, terriblement chaud alors que tes mains glissent sur ses fesses, t'as besoin de son contact, de son corps, un gémissement presque brisé s'échappe d'entre tes lèvres alors que tes ongles s'enfoncent dans le bas de son dos, tu le griffes, inconsciemment. ça fait trop longtemps que vous n'avez pas été aussi proche. « aaron ... » tu l'obliges à redresser la tête et tu l'embrasses, de nouveau, c'est désespéré, t'as tellement besoin de lui. tu fermes les yeux et tu colles ton front contre le sien, ta main qui vient caresser sa joue, presque trop tendrement, ça te ressemble pas. « j'ai besoin de toi ... » tu souffles à peine, tu sais qu'il t'entend. et toi inconsciemment t'as peur que quelqu'un d'autre t'entende, que quelqu'un vous entende et vienne tout briser. tu serres aaron contre toi, tu fermes les yeux et tu inspires son odeur, par peur de le perdre. tu ne veux pas le perdre, tu ne veux pas qu'il parte, qu'il s'éloigne. tu n'y survivrais pas.
657 mots - 24h.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 21:22
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aarias
Deux semaines. Deux semaines que tu ne l’as pas touché, que tu te réveilles sans lui à tes côtés. Le fait de sentir de nouveau ses lèvres sur les tiennes te rend fou. Tu respires. Comme si durant deux longues semaines tu avais été en apnée, mais la vie ça fait mal. Terriblement mal. Tu sais qu’une fois loin de lui, tu allais te morfondre, repenser à ce qu’il t’avait fait. Une fois loin de sa chaleur, tu allais avoir terriblement froid et tes pensées sombres allaient revenir. Tu le déteste et tu l’aimes, il te répond qu’il le sait. Oui, il doit avoir conscience de ta rancœur envers lui. Vous êtes deux hommes têtu, caractériels, ce qui déclenchait quelques fois certaines disputes violentes. Mais celles-ci n’avaient jamais été bien graves, jamais bien sérieuses. Après une heure voire un jour, vous reveniez l’un vers l’autre assez naturellement. Jamais, au grand jamais vous ne vous étiez séparés. Depuis un an et demi, votre couple tenait bon, jusqu’à son faux pas. Il n’en avait fait qu’un, peut-être que c’était pardonnable…tu n’en étais pas très sûr, mais tu ne voulais pas y penser non plus. Vos lèvres se retrouvent et tu sens ses mains sur ta peau, glisser dans ton dos pour s’arrêter sur tes fesses. Tu soupires, mordant son cou sans préavis, y laissant une marque rouge qui s’effacera rapidement. Tu as juste envie de profiter de son corps, de tout son être. Tu veux imposer son odeur sur lui, tu veux qu’il t’appartienne comme autre fois, même l’espace d’un instant. C’est égoïste, c’est animal comme réaction, mais tu as toujours été très possessif de nature. Comme lui d’ailleurs. Dès que quelqu’un s’approche trop près de toi il devient jaloux et c’était vice-versa, trait de caractère conflictuel entre vous, dramatique presque.
Il t’oblige à redresser la tête, prononçant ton prénom alors que t’en a le souffle coupé. « Mmm » Tu n’arrives pas à articuler un seul mot, t’as juste envie de continuer à l’embrasser. Sa main caresse ta joue et tu le regarde, tu n’étais pas spécialement habitué à tant de douceur venant de sa part. Ton nez frôle le sien alors qu’il dit avoir besoin de toi. Tu as envie de lui dire que toi aussi, mais qu’il aurait dû y penser avant de se faire baiser par Samuel… « Je sais… » Ta main se dégage de sa nuque pour glisser dans ses cheveux, prenant une profonde inspiration. Ton corps est brûlant comme un volcan et tu te retiens de sauter dessus comme un animal. T’es con, tu devrais être dégouté de lui, l’envoyer chier, mais tes hormones sont carrément en ébullitions. « Tous n’est pas effacé pour autant… » Tu voulais bien faire un effort, tu voulais bien essayer de sauver un an et demi de relation, mais tu n’étais pas sûre d’y arriver. « Je n’ai plus confiance en toi Mathias… mais… mais je veux bien essayer de… » ça t’arrache la gueule de le dire, tu n’es pas du genre à plier. « de… d’arranger les choses. » ça prendra du temps, c’est certains. Tes lèvres glissent sur les siennes pour un léger baiser, avant que tu n’enchaîne en disant avec une pointe d’amusement. « Mais tu peux te faire pardonner de diverses façons. » A ses mots, tes doigts glissent le long de ses cotes, frôlant ses hanches. Tu ne le quitte pas des yeux. Même si tu avais dit ça avec amusement, tu étais totalement sérieux. T’allais enlever cette vision de ta tête, tu allais faire en sorte que Samuel n’existe plus sur Mathias. Oui, tu allais faire en sorte que chaque parcelle de sa peau soit à toi.
« Disons que, de toute façon, je ne te laisse pas le choix. » Tu reviens l’embrasser mais cette fois-ci avec plus d’ardeur. Ta langue vient chercher la sienne pour une danse endiablée, mais déjà, tes doigts détachaient son pantalon avec une agilité certaine. Et si on vous voyait ? Et bien tant pis…Puis, vu l’heure, personne ne traînait de ce côté du bâtiment.
679 mots - 24h - poste 12
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 22:40
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des soupirs. des baisers. tu t'accroches désespérément à ce que tu ressens, au moment présent, à tout ce qui se passe trop rapidement pour ton esprit. tu fermes les yeux et tu profites juste des lèvres contre les tiens, du corps d'aaron contre le tien. tu sais qu'il peut changer d'avis à n'importe quel instant, que n'importe qui peut arriver. tout ça peut s'arrêter si vite, si soudainement, que tu n'es même pas certain de pouvoir le surmonter. alors tu t'accroches, tu l'embrasses à en perdre ton souffle, tu en oublies de respirer et tu sens ta gorge te bruler du manque d'air. tu l'obliges à relever la tête, vos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, vous partagez le même air et vos souffles s'entremêlent. ta main sur sa joue. t'es pas du genre démonstratif de gestes d'affections en tant normal, c'est pas du tout ton genre, ni ta manière de faire. mais aujourd'hui, tu veux faire une exception. tu veux montrer à aaron, que t'es pas juste un salaud. que tu l'aimes, lui, que t'es prêt à tout pour lui montrer. t'as besoin de lui. tu peux pas continuer de vivre dans cette situation. tu le murmures doucement alors que ton souffle s'échoue sur sa peau. « je sais… » tu sens sa main glissait de ta nuque à tes cheveux, un maigre sourire sur tes lèvres, à peine visible, semblable à un léger rictus, mais tu sais qu'aaron le verra. « tous n'est pas effacé pour autant… je n'ai plus confiance en toi mathias… mais… mais je veux bien essayer de… de… d'arranger les choses. » tu hoches lentement la tête. tu sais que ça lui arrache les lèvres, qu'il est pas du genre à plier. tu sais qu'aaron est rancunier. et sans doute qu'il l'est plus que toi. tu le connais trop bien, tu sais à quel point il peut être dur pour lui de plier. et ton cœur loupe un battement. parce qu'il fait ça pour toi. tu fermes les yeux un court instant. un léger baiser sur tes lèvres. tu rouvres les yeux. « mais tu peux te faire pardonner de diverses façons. » une pointe d'amusement dans sa voix, un poids en moins sur ton cœur, tu soupires de soulagement et tu souris un peu alors que ses mains s'égarent sur tes côtes et tes hanches. tu laisses un soupir de plaisir franchir la barrière de tes lèvres et un frisson remonte le long de ton dos. ça fait si longtemps qu'il ne t'a pas touché comme ça. deux semaines seulement, en réalité, mais c'est déjà trop. t'es complètement accro. « disons que, de toute façon, je ne te laisse pas le choix. » tu étouffes ton léger rire contre ses lèvres et tes mains agrippent ses mèches quand sa langue vient chercher la tienne pour un combat que tu sais perdu d'avance. tu ne peux pas lui résister. pas aujourd'hui. pas maintenant. alors tu capitules. tu le laisses prendre le contrôle de ce baiser alors que tu sens ses mains détacher ton pantalon. tes mains glissent sur son torse et tu le repousses à peine, pour pouvoir pivoter et le plaquer contre le mur à son tour. tu te débarrasses de ton pantalon. tes dents viennent mordiller le lobe de son oreille. « tu sembles pressé. » tu ris presque. t'es dans le même état. tes mains partent explorer son torse, s'attardent un moment sur les points que tu sais sensible alors que tu l'embrasses de nouveau, tu te colles contre lui et ton bassin frotte contre le sien. tu lui montres l'état dans lequel il t'as mit. et t'as beau te retrouver en boxer au milieu d'une pièce pas vraiment chauffée, t'as trop chaud, fiévreux de vos baisser, ta peau semble brûlante contre la sienne alors que tu défais son pantalon que tu laisses tes mains jouer avec l'élastique de son boxer, un sourire presque narquois au bord des lèvres, tu relèves les yeux vers aaron. ton front s'appuie contre le sien et tu fermes les yeux un moment.
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Aaron Blackthorn
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Je suis à Los Angeles depuis le : 22/07/2016 et j'ai déjà posté : 100 messages et gagné : 191 points. Sur le net mon pseudo est : Chikita et je remercie : Mathias d'amuuuur and hunt pour mon profil. Il paraît que je ressemble à : jack falahee d'ailleurs, je joue aussi : personne pour l'instant.
Je suis né(e) le : 31 Octobre 1989 ce qui me fait donc : 27 ans. J'ai des origines : Anglaise et Irlandaises. Je travaille actuellement comme : Chasseur & médecin et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : Récemment séparé le coeur détruit par un crétin qui ne sait pas garder son pantalon en place. et j'ai un penchant pour : les femmes comme les hommes.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Sam 13 Aoû - 23:23
i can't help you when i'm only gonna do you wrong.
aarias
Tu vas oublier, juste l’espace d’un instant, cette trahison sans nom. Oui, tu vas te laisser aller dans ses bras, respirer son odeur, retrouver sa chaleur. Après ? Tu improviseras, tu tenteras d’étouffer ta rancœur, de l’aimer à nouveau, de sauver ce couple que vous formiez autrefois. Vous n’êtes pas le couple parfait, tu en as conscience, mais ce couple c’était le vôtre. Vous êtes amoureux, ça avait toujours suffit à ton bonheur. En tout qu’à jusqu’à aujourd’hui. Oui, aujourd’hui tu voulais plus, ayant perdu la principale base de votre histoire, la confiance. Entre l’adoption d’Athénaïs, votre couple que tu pensais solides, les épreuves passées côte à côte, tu ne croyais pas voire ce jour arriver. Pourtant, il était là et malgré tes lèvres glissant sur sa peau, tes doigts frôlant son corps, tu lui en tenais toujours rigueur. Tu n’allais pas oublier de sitôt cette histoire, mais pour l’heure, ce n’était pas ce qu’il comptait. Ton corps réclamait tant de choses que tu avais du mal à rester en place, laissant ta langue glisser sur la tienne, alors que tout ton être se colle au siens. Cette sensation t’avait manquée, cruellement manquée. T’as qu’une envie, lui ôter ses vêtements, enfin, le reste de ses vêtements pour être plus précis. Tes mains s’attaquent à son pantalon, pourtant, il te repousse légèrement et tu te retrouves à ton tour plaqué contre le mur. T’en as le souffle coupé mais tu ne cherches pas à te défendre, t’en a que faire, tant qu’il reste près de toi. Tu le vois enlever son pantalon, alors que ses dents s’emparent du lobe de ton oreille, t’arrachant un soupire de plaisir. Si tu es pressé ? « Je n’ai jamais été très patient, tu devais le savoir. » Tu soupires face à ses caresses, alors que tes mains glissent sur ses épaules. Des deux tu es sûrement le plus basé des deux, mais le physique ne fait pas tout et tu savais Mathias redoutable.
Vos lèvres se retrouvent et tu mords celle-ci avec une sensualité palpable alors qu’il vient se frotter contre toi, te faisant bien ressentir le désir qui c’était emparé de lui. Tu soupires une nouvelle fois, frissonnant de ce désir qui ne cesse d’animer tes gestes, tes baisers. Il détache ton pantalon, jouant avec l’élastique de ton boxer. Tu n’as qu’une envie, qu’il te l’enlève ! T’es trop serré là-dedans. Ton front contre le sien, tu laisses tes mains glisser vers ses fesses. T’as envie d’écrire au fer rouge « propriété d’Aaron Blackthorn », mais bon, sur le coup t’allais quand même te retenir. Tu remontes doucement tes mains vers l’élastique de son boxer, glissant en dessous pour te retrouver directement en contact avec sa peau. Tes lèvres viennent chercher de nouveau les siennes, mordant sa lèvre inférieure avec peut-être un peu trop d’entrain. Le collant davantage à toi, ta respiration est bien trop rapide, ton souffle bien trop saccadé. Si l’envie était un élément que l’on pouvait aisément sentir, il aurait fini par nous étouffer…mais qu’importe. Tu déposes quelques baisers le long de sa mâchoire, pour descendre subtilement vers son cou pour cette fois y laisser une réelle marque bien ancrée dans sa peau. C’est gamin, c’est enfantin, mais tu le fais quand même. « J’ai envie de toi, là, maintenant. Et tant pis si quelqu’un se ramène ! » Tu avais murmuré ses paroles. Ouai, tu ne tournes pas autour du pot, mais de nos jours tourner autour du pot ne sert à rien…clairement. « Tu me l’enlève ce pantalon ou on joue au monopolis ? » Impatient ? Oui, c’est sûr, c’est même très palpable.
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Mathias O'Connel
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Je suis à Los Angeles depuis le : 11/08/2016 et j'ai déjà posté : 28 messages et gagné : 130 points. Sur le net mon pseudo est : exogenesis et je remercie : faust pour mon profil. Il paraît que je ressemble à : matthew daddario d'ailleurs, je joue aussi : personne.
Je suis né(e) le : quatorze janvier ce qui me fait donc : vingt-six ans. J'ai des origines : irlandaises et américaine. Je travaille actuellement comme : infirmier et chasseur dans le groupe d'aaron et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : séparé, le coeur brisé, les yeux humides.
Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Dim 14 Aoû - 22:41
i can't help you when i'm only gonna do you wrong.
aarias
ton corps contre le sien. enfin. un soupir de plaisir sur tes lèvres, tes yeux fermés de moitié. enfin. tu l'embrasses. tu ne veux plus jamais te séparer de ses lèvres, de sa peau, de son corps. ses mains sur ta peau, son contact brûlant. tu ne t'en lasses pas. tu ne t'en lasseras jamais. ses doigts qui défont ton pantalon. un soupir d'impatience franchit la barrière de tes lèvres, tu inverses vos positions, te défait de ton pantalon que tu envoies balader d'un geste du pied. tu te colles de nouveau contre aaron. ton bassin contre le sien. un geste presque naturel. vos corps qui sont faits l'un pour l'autre. tu lui montres à quel point tu as envie de lui, à quel point il te retourne le cerveau. il te rend complètement accro. à sa voix, son sourire, ses caresses, sa peau, son odeur. tu fermes les yeux, tu mordilles le lobe de ton oreille et un sourire se dessine sur tes lèvres quand sa voix parvient jusqu'à ton oreille. « je n'ai jamais été très patient, tu devais le savoir. » tu ris doucement. oui, tu le sais. tu le sais mieux que quiconque d'ailleurs. la patiente n'a jamais été le fort d'aaron. ni le tien d'ailleurs. tous deux avides des caresses de l'autre. ses mains sur tes épaules, un soupire de plaisir entre tes lèvres.
un nouveau baiser alors que tu ne te retiens plus de te frotter lascivement contre son bassin, il mordille ta lèvre inférieure et tu gémis contre ses lèvres. t'es pas du genre très expressif d'habitude, mais la tu veux lui montrer l'effet qu'il te fait. tu veux lui prouver qu'il n'y a que lui pour te retourner le cerveau avec ses caresses et ses baisers. tes mains glissent sur son pantalon que tu commences à défaire, tu t'amuses avec l'élastique de son boxer, tu veux le pousser à bout, tu veux mettre sa patiente à rude épreuve. et ce malgré l'urgence de la situation, de vos gestes et de cet amour aussi bénéfique que destructeur. il embrasse ta mâchoire, puis ton cou et tu le sens suçoter légèrement ta peau. un suçon. c'est totalement gamin, mais ça te fait sourire. personne ne doutera plus du fait que tu lui appartiens. qu'il n'y a que lui qui a le droit de marquer ton corps, d'y laisser des traces. il n'y a qu'aaron qui peut s'approprier de ta chaire comme bon lui semble. « j'ai envie de toi, là, maintenant. Et tant pis si quelqu'un se ramène ! » tu fermes les yeux. l'urgence de la situation qui te frappe de plein fouet, à nouveau. bordel, n'importe qui pourrait arriver et ça ne fait que renforcer l'excitation qui parcourt ton corps tout entier. « tu me l'enlève ce pantalon ou on joue au monopolis ? » tu déposes un baiser sur ses lèvres, léger, tu fais glisser son pantalon le long de ses cuisses et ta main vient appuyer contre son entre-jambe. tu le nargues en le caressant au travers du tissu sans jamais réellement exercer une pression correcte. tu embrasses le coin de ses lèvres et tu te penches un peu plus contre lui, ton torse contre le sien, ta respiration erratique qui se mêle à la sienne. tu embrasses sa mâchoire, puis tu viens murmurer contre son oreille. « dit moi ce dont tu as envie. » ta voix. profonde. rauque. et tu feras ce qu'il veut. t'es prêt à abandonner tout contrôle. pour lui. maintenant. s'il te veut à genoux ou le torse plaqué contre le mur. tu t'en fiches bien. tu veux juste qu'il te possède. qu'il te fasse sien. une nouvelle fois. tu veux qu'il fasse en sorte que tout le monde soit au courant de vos activité. pour une fois, tu veux qu'il t'entendes crier, supplier pour qu'il te donne plus, pour qu'il te donne tout.
687 mots - 24h.
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Aaron Blackthorn
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Je suis né(e) le : 31 Octobre 1989 ce qui me fait donc : 27 ans. J'ai des origines : Anglaise et Irlandaises. Je travaille actuellement comme : Chasseur & médecin et je fais partie des : évolutionnistes. Je suis : Récemment séparé le coeur détruit par un crétin qui ne sait pas garder son pantalon en place. et j'ai un penchant pour : les femmes comme les hommes.
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Dim 14 Aoû - 23:43
Attention aux yeux:
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aarias
Il se joue de toi. Tu le sais, tu n’es pas stupide. Il fait monter la pression comme il sait si bien le faire, te poussant dans tes retranchements alors que tu ne voulais qu’une chose, passer à l’acte. Que ce soit contre le mur ou encore contre le sol, tu n’en avais que faire, ça ne serait pas la première fois. Oui, en deux ans de relation, vous en aviez fait des choses pas très catholiques. Tu connaissais chaque parcelle de son corps, ses moindres désirs, ses points faibles. C’était réciproque, tu le savais et ça, ça te rendait totalement fou. Ses gémissements résonnent comme une douce mélodie, alors que tu t’empare de sa lèvre, mordillant celle-ci avec une envie non dissimulée. Tu le marque sans lui laisser le choix, laissant tes lèvres retrouver le gout de son être d’une façon bien intéressante. A présent, ceux qui le verront sauront que, d’une façon ou d’une autre, vos corps c’étaient retrouvés. Qu’il était de nouveau à toi et que, cette fois-ci, tu n’allais pas laisser un autre le toucher. Si jamais il te refaisait ce coup-là, tu ne te montreras pas aussi clément. Ô ça non. Tu le presses, tu le réclames, tu lui dis d’accélérer la cadence en quelque sorte. Qu’importe que quelqu’un puisse vous surprendre, ça t’est complètement égale. Sur le coup, ça te ferait même bien plaisir, histoire que Samuel sache ce qu’il en est devenu de son plan. Il avait échoué, il échouera toujours, mais ta vengeance sera quand même terrible. Tu ne pouvais le foutre dehors, de par ton statut de leader, tu te devais d’être impartiale…certes, il avait couché avec Mathias, mais ça ne touchait que toi. Tu l’attendais au tournant. Le moindre faux pas engendrerait son extermination, sa mise en exclusion et ça, tu pouvais le jurer.
Il dépose un léger baiser sur tes lèvres, alors que ton pantalon glisse le long de tes jambes. Tu t’en débarrasse rapidement, le faisant valser sur le côté, alors qu’un soupire s’échappe de ta bouche face à sa main trouvant enfin le chemin tant convoité. Ses caresses sont légères et nullement imposantes, ça te frustre, tu en veux davantage et ta main vient agripper ses cheveux de mécontentement. Ses baisers éveillent en toi milles et unes sensations, alors qu’il glisse du coin de tes lèvres à ton oreille. Tes yeux se ferment légèrement, alors que ton bassin se presse instinctivement contre la paume de sa main, cherchant plus de contact à travers ce tissu. Tu frissonne encore une fois, le cœur battant douloureusement dans ta poitrine. Ce que tu veux ? Tellement de choses. T’aimerais lui en coller une pour te venger, tu aimerais le faire souffrir autant que tu avais souffert, que tu souffrais encore…Mais là, tu avais surtout envie d’autre chose. « De toi. » Purement, simplement. Tu inverses de nouveau les positions, le repoussant pour le plaquer face contre le mur. Tu as été rapide et agile. Tes doigts attrapent son boxer, alors que tes lèvres, elles, s’occupent de son cou y déposant des baisers prolongés. Tu fais glisser son bout de tissus avec avidité et tu n’attends pas son aide pour glisser le tiens. Tu es trop impatient, les préliminaires ne sont absolument pas au menu pour cette fois-ci. Pourtant, au dernier moment tu te vois d’humeur joueuse, emmerdeuse…Il t’avait poussé à bout, tu allais faire de même. Tu colles sournoisement ton bassin contre lui, sans pour autant lui offrir satisfaction, bien que tu doives te faire violence pour t’empêcher d’entre en lui sans plus de prolongation. Tu approches tes lèvres de son oreille, venant à ton tour murmurer à celle-ci. « Et toi, de quoi as-tu envie ? » Sur ces belles paroles, tu laisses ta main glisser le long de son dos, reculant légèrement ton corps du siens pour poser un baiser le long de son épaule. Ta main s'arrête sur ses fesses, néanmoins, tu ne vas pas plus loin. Tu attends, tu joues également avec ses nerfs. Tu te rapproches dangereusement de cet endroit sensible, pourtant, tu t'arrêtes à la limite du raisonnable.
971 mots - 24h - poste 16
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Mathias O'Connel
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Lun 15 Aoû - 0:18
Spoiler:
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aarias
t'as chaud. t'as terriblement chaud, mais tu te sens tellement bien. dans les bras d'aaron. t'as l'impression que ta place elle est là, collée contre son corps. tu te sens plus vivant que jamais. tu fermes les yeux et tu l'embrasses. tu te demandes encore ce qu'il t'es passé par la tête pour que tu laisses samuel te toucher. tu ne sais pas, tu te dégoûtes toi-même. tu ne sais pas comment tu as pu lui faire ça. tu ne sais pas comment tu as pu laisser un autre homme te toucher de cette manière. personne n'égale aaron de toute manière. ses caresses, sa voix, ses gémissements rauques prêt de ton oreille. tu ne peux pas t'en passer. tu ne pourras t'en passer. t'en es certain. tu croyais pas à toutes ces histoires d'âmes sœurs avant de rencontrer aaron. mais aujourd'hui t'as envie d'y croire. t'es persuadé que c'est l'homme de ta vie, que tu ne seras jamais heureux avec quelqu'un d'autre ou loin de lui. vous avez tellement accomplit en deux années. tu ne t'en rends même pas compte.
tu soupires quand son bassin se presse instinctivement contre la paume de ta main. son désir ardent au bout des doigts, son caleçon et le tient comme seule barrière entre vos deux corps. c'est trop. t'as envie de le sentir entièrement nu contre toi. tes lèvres glissent contre les siennes et au creux de son oreille, tu lui demandes ce dont il veut. tu le sens frissonner contre toi. tu soupires doucement et tu fermes les yeux. t'as peur. t'as tellement peur qu'il te rejette, qu'il te foute une claque et qu'il te laisse là, seul. « de toi. » tu soupires de soulagement et tu l'embrasses de nouveau. il t'écarte de lui et te plaque de nouveau contre le mur, ton torse contre la pierre froide. tu appuies ton front contre le mur. tu sens ses mains qui tirent ton boxer vers le sol, tu soupires doucement quand une vague de froid te frappe de plein fouet, mais ses baisers dans ta nuque te distraient et tu fermes les yeux. quelques instants plus tard tu le sens te coller à toi. entièrement nu. un soupir de plaisir glisse sur tes lèvres. ça t'as manqué putain. ça t'as tellement manqué que t'en pleurerais. et pourtant c'est pas assez. t'as besoin de tellement plus. t'as besoin d'aaron tout entier. tu sens ses lèvres contre ton oreille. « et toi, de quoi as-tu envie ? » il s'éloigne à peine de toi, ses lèvres sur ton épaule, ses mains le long de ton dos et sur tes fesses. tu soupires de nouveau, mais il ne te donne pas ce dont tu as besoin. il s'amuse avec toi. tu le sens. il se venge, à sa manière. il sait qu'il joue avec ta patience, avec ton envie. ton corps entier en tremble presque. « j'ai besoin de ton corps. j'ai besoin de toi aaron. j'ai besoin de te sentir en moi. » tu murmures. tu sanglotes presque. tout ton corps réclame. ton esprit aussi. tu en as terriblement besoin, alors t'écartes légèrement les jambes et tu cambres le dos pour sentir un peu plus sa main sur tes fesses. tu t'en fous de quelle image tu peux bien donner. t'as juste besoin d'aaron. tes mains plaquées contre le mur, ton front également, tes joues rougies de plaisir et des larmes de frustrations qui menacent de couler. t'es complètement à bout nerveusement depuis deux semaines, tu prends sur toi à chaque situation qui te vexes ou qui menace de te faire exploser. mais la c'est trop, là y'a la frustration sexuelle qui prend le dessus, qui se rajoute à tout ce qui s'amasse depuis quinze jours, et la tu supportes plus rien, tu supportes plus l'attente, t'as juste besoin d'aaron, désespérément.
691 mots - 24h.
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Aaron Blackthorn
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Lun 15 Aoû - 1:06
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aarias
Tu le retournes, tu te joues de lui comme il s’est joué de toi. Retournement de situation qui t’amuse, qui fait monter la pression alors qu’elle est déjà sur le point d’exploser. Généralement, tu prends davantage ton temps, t’es plus doux et plus calme. Mais pas cette fois-ci, pas après deux semaines loin de son corps, de son odeur ou même de sa simple chaleur. La nuit, tu tremblais inconsciemment, alors que tes bras cherchaient son corps invisible. Durant deux semaines tu ne l’avais plus trouver, t’éloignant de cette chambre qui avait été vôtre, te réfugiant sous les couvertures d’Evangeline alors que votre fils vous séparait. Tes mains glissent le long de son corps, tes lèvres le retrouve comme si c’était la première fois qu’elles goutaient à sa peau. Rapidement tu lui enlèves son boxer, inutile, de trop, faisant de même avec le tiens. Il fait froid, le chauffage n’existe pas dans ce bâtiment, mais l’excitation du moment fait que tu ne ressens pas celui-ci. Non, tu es bien trop concentré sur tes actes, sur tes gestes pour penser à quoi que ce soit d’autre. Ta main glisse le long de son dos pour s’arrêter à ses fesses. Joueur, taquin, tu le sens trembler sous ta peau. Tu sais qu’il en a envie autant que toi, son corps l’indique clairement tout comme le tiens. Mais il attendra encore un peu, t’as besoin qu’il te dise qu’il a envie de toi, qu’il te veut toi et pas un autre. Oui, c’est bête, mais tu as besoin d’être rassuré. Tu ne veux pas de nouveau coucher avec lui sans ressentir son envie, son empressement. Sans être certain que c’est ce dont il a envie, réellement envie. Tu déposes quelques baisers sur son épaule, attendant sa réponse qui ne se fait certainement pas attendre.
Tout son corps te réclame, il tremble, il te le dit, il en a besoin tout autant que toi. Tu le sens écarter légèrement les jambes, prenant appuie contre le mur, alors qu’il se cambre pour appuyer davantage ses fesses contre ta main. Tu souris victorieux, tel un enfant ayant gagné une partie rudement mené, alors qu’au final, ça avait été d’une facilité enfantine. Tu sens au son de sa voie qu’il est mal, aussi frustré que toi, sauf que toi, tu te l’infliges en plus de le lui infliger à lui. Douce torture que voilà. Tu ne comptes pas le faire attendre plus longtemps, toi-même tu ne peux plus tenir. Tu as besoin de lui, tu as besoin de ressentir de nouveau ce contact intime avec l’homme que tu aimes d’un amour sans limites, sauvage, brutale. Tu déposes un baiser dans sa nuque, laissant ton souffle glisser sur sa peau avant de soigneusement glisser un doigt en lui, commencement des mouvements de vas-et-viens, le préparant pour la suite. Ta main de libre glisse dans son cou, alors que ta respiration est saccadée, l’obligeant à tourner la tête pour venir capturer ses lèvres avec les tiennes. Un baiser fougueux, passionné, avide. Ta langue cherche la sienne une fois de plus, frémissante à son contact, alors que tu soupire de plaisir. Tes mouvements se font plus rapides, alors qu’une fois estimé près tu cesses ceux-ci pour te dégager de lui. Tu te recules légèrement, détachant tes lèvres des siennes avec une certaine amertume, néanmoins, tu savais que ce qui adviendrait par la suite n’en serais que meilleur. Tu te mords l’espace d’un instant la lèvre inférieure, attrapant ses hanches calmement. Tu ne peux plus attendre, ça en est fini de ta patience. Te positionnant convenablement derrière lui, ta main droite glisse pour s’arrêter au creux de ses reins, gardant ainsi une certaine emprise sur lui. Une fois sûr de toi, tu t’insinue lentement en lui, sans brutalité pour ne pas le blesser. Quinze jours sans rien faire ça ne devait pas être évident de recommencer, enfin, au final tu n’étais même pas sûr qu’il n’avait rien fait…mais bon, tu ne voulais pas non plus tenter le diable.
667 mots - 24h - poste 18
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Sujet: Re: i can't help you when i'm only gonna do you wrong (aarias) [HOT] Mar 16 Aoû - 0:31
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i can't help you when i'm only gonna do you wrong.
aarias
vos gestes sont brouillons, précipités, les mains tremblantes, le souffle court. l'envie. celle qui vous consume, qui vous animes. tout est rapide, ton corps entier tremble déjà alors que la pierre froide contraste avec la chaleur émanant de ton propre corps. ton torse plaqué contre le mur combiné à la fraicheur de la pièce. et pourtant t'as chaud, t'as trop chaud, ton corps entier brule d'envie, de désir et de passion, tes joues sont rouges et tes cheveux humides tombent sur ton front. en tant normal ça t'aurais énervé, tu les auraient remis en place. mais pas aujourd'hui, alors que les mains d'aaron se posent à nouveau sur ton corps. après deux longues semaines. elles caressent. tes épaules. ton dos. et finalement elles te déshabille complètement. un soupire sur tes lèvres. de contentement. tu fermes les yeux. ses mains taquines tes fesses. tu cambres presque inconsciemment ton dos, demande implicite. il sait très bien ce que tu veux. mais il veut l'entendre. tu le sais. alors tu murmures. tu sais qu'il t'entend. tu lui demandes. de te toucher. plus. te prendre possession de ton corps, à nouveau. t'en as terriblement besoin, alors que tes nerfs craquent. que toute la pression accumulée depuis deux semaines semble enfin s'échapper de ton corps. et enfin. il dépose un baiser dans ta nuque alors que ses doigts semblent encore plus brulant quand enfin ils glissent en toi. tu gémis. ta respiration saccadée se perd un peu plus. tu sens une main dans ta nuque, tu tournes la tête, pour échanger un baiser furieux avec aaron. passion. amertume. douleur. tout ce qui n'a pas été dit, retranscrit dans vos gestes, dans vos mouvements. vos lèvres l'unes contre l'autre, bataille acharnée pour savoir qui prendra le contrôle de ce baiser. la chaleur dans ton corps tout entier. ses mouvements déjà délicieux à l'intérieur de ton corps. tu gémis, bruit étouffé par ses lèvres que tu mordilles. la frustration qui prend bientôt place. t'as besoin de plus, de tellement plus. ton esprit qui se perd lentement, dans les méandres de toutes les sensations qui semblent si lointaines. deux semaines. deux semaines loin d'aaron et t'as l'impression que c'est votre première fois. tu fermes les yeux, tu le sens s'éloigner. le froid te frappe de plein fouet et tu gémis de frustration, les yeux à moitié-fermés, la bouche entrouverte pour mieux respirer. ses mains sur tes hanches. au creux de tes reins. tu grimaces un peu quand tu le sens tout contre toi. en toi. sa chaleur. son corps. contact brulant. tu te crispes inconsciemment. deux semaines c'est long. deux semaines sans être touché. sans te toucher. tu soupires doucement et tu laisses ta tête basculer en arrière, contre son épaule. « aaron putain ... c'est bon, c'est tellement bon ... » son prénom sur tes lèvres comme une litanie, tu murmures, les yeux fermés. tes mains agrippent ses hanches et tu laisses ton bassin aller à la rencontre de celles-ci. ta mâchoire se crispe quelques secondes, tu gardes obstinément les yeux fermés, tu te penses pas capable de réussir à retenir les larmes qui menacent de couler sur tes joues autrement. de bonheur ou de douleur ? t'en sais strictement rien. peut être que ce sont celles qui n'ont jamais coulées, depuis votre séparation. tu cherches même pas à réfléchir, tu craques. tu tournes la tête et t'obliges aaron à tourner la sienne, à la recherche de ses lèvres. « bouge. » que tu murmures contre son oreille. t'as besoin que ce soit lui. t'as besoin qu'il te marque, qu'il te fasse mal s'il le faut. t'as besoin qu'il prenne les initiatives. ce soir t'as désespérément besoin d'aaron. tu veux lui prouver que t'es à lui, qu'il peut faire ce qu'il veut de toi. aaron tu l'aimes et tu pourrais lui confier ta vie les yeux fermés.
676 mots - 24h.
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